N O T E S

 

(1) Manès Sperber, in : Arts, 12 juin 1953, reproduit dans Pierre Debray-Ritzen (dir.), Arthur Koestler, Paris, Editions de l'Herne, 1975, Cahier de l'Herne n° 27, p. 9.

(2) Arthur Koestler, Œuvres autobiographiques, Paris, Robert Laffont, 1994, coll. Bouquins, p. 115 (La Corde raide).

(3) Exploitation agricole collective, où les travailleurs vivent en communauté et où la propriété individuelle n'existe pas.

(4) Arthur Koestler, Les Militants, Paris, Editions Mille et une nuits, 1997, n° 149, p. 19-20.

(5) Arthur Koestler, Les Militants, op. cit., p. 20.

(6) Ibid., p. 55.

(7) Une petite Fiat qui sert énormément : "Ma voiture m'était parfois empruntée par des camarades que je n'avais jamais rencontrés auparavant, et m'était rendue quelques heures plus tard sans explications. C'était une petite torpédo Fiat peinte en rouge, modèle 509 [...] ; mais, dans notre cellule, j'étais le seul à avoir une voiture. C'était tout ce qui me restait de mon passé bourgeois, et voici qu'elle servait de véhicule à la révolution prolétarienne. Je passais la moitié de mon temps à faire le chauffeur, transportant des brochures de propagande, filant des voitures nazies dont le numéro nous avait été signalé, ou servant d'escorte de sécurité. Une fois, j'eus à transporter le matériel au complet d'une presse à bras [...]". Ibid., p. 70-71.

(8) Ibid., p. 70.

(9) Ibid., p. 65.

(10) Arthur Koestler, Œuvres autobiographiques, op. cit., p. 316 (Hiéroglyphes).

(11) Voir Pierre Debray-Ritzen (dir.), Arthur Koestler, op. cit., p. 155.

(12) Arthur Koestler, Œuvres autobiographiques, op. cit., p. 340 (Hiéroglyphes).

(13) Arthur Koestler, Les Militants, op. cit., p. 84.

(14) Ibid., p. 77-78.

(15) Arthur Koestler, Œuvres autobiographiques, op. cit., p. 447 (Hiéroglyphes).

(16) Ibid., p. 483.

(17) Ibid., p. 484.

(18) Willi Münzenberg était un maître de la propagande ; il créait et dirigeait, pour les besoins du Komintern, de multiples associations, comités, journaux et revues, et il possédait une maison d'édition. Il était à lui seul un parti dans le Parti et il échappait à la rigide bureaucratie de l'Internationale.

(19) Arthur Koestler, Œuvres autobiographiques, op. cit., p. 488 (Hiéroglyphes).

(20) Ibid., p. 506.

(21) Arthur Koestler, Les Militants, op. cit., p. 90-91.

(22) Le manuscrit de cette pièce fut perdu par Koestler pendant son évasion de France en 1940. Il en écrivit en 1943 une autre version autour de la même idée, intitulée Twilight Bar (en France, Le Bar du crépuscule).

(23) Arthur Koestler, Œuvres autobiographiques, op. cit., p. 525 (Hiéroglyphes).

(24) Ibid., p. 564.

(25) Arthur Koestler, Un Testament espagnol, Paris, Albin Michel, 1939, rééd. par Le Livre de Poche, n° 383, p. 161.

(26) Voir Pierre Debray-Ritzen (dir.), Arthur Koestler, op. cit., p. 170.

(27) Ibid., p. 183.

(28) Arthur Koestler, Les Militants, op. cit., p. 104-105.

(29) Voir Pierre Debray-Ritzen (dir.), Arthur Koestler, op. cit., p. 186.

(30) Arthur Koestler, Les Militants, op. cit., p. 105.

(31) On peut citer également Harold Nicolson, Duff Cooper, Norman Angell et E. M. Forster.

(32) Arthur Koestler, Œuvres autobiographiques, op. cit., p. 977.

(33) En octobre 1940 est retrouvé dans un bois d'Isère le corps de Willi Münzenberg, qui a été pendu. Le décès remonte à environ quatre mois et est vraisemblablement l'œuvre d'agents du NKVD.

(34) Arthur Koestler, Œuvres autobiographiques, op. cit., p. 1157-1158.

(35) Arthur Koestler, Le Zéro et l'Infini, Paris, Calmann-Lévy, 1945, rééd. par Le Livre de Poche, n° 35, p. 7.

(36) Voir Pierre Debray-Ritzen (dir.), Arthur Koestler, op. cit., p. 188.

(37) Ibidem.

(38) Otto Katz est condamné et pendu. Ibid., p. 269.

(39) Paru à Londres en 1940.

(40) Voir Pierre Debray-Ritzen (dir.), Arthur Koestler, op. cit., p. 269.

(41) Ibid., p. 189.

(42) Ibid., p. 220-221. Reproduit également dans : Arthur Koestler, Les Militants, op. cit., p. 137-138.

(43) Arthur Koestler, Le Zéro et l'Infini, op. cit., p. 194-195.

(44) Arthur Koestler, Œuvres autobiographiques, op. cit., p. 731-732 (Hiéroglyphes).

(45) Parmi les intellectuels, artistes et savants qui participent à cette manifestation, on peut citer entre autres James Burnham, Nicolas Nabokov, Jerzy Gedreye (fondateur de la revue polonaise Kultura), Denis de Rougemont, Benedetto Croce, Bertrand Russel.

(46) Voir Ariane Chebel d'Appollonia, Histoire politique des intellectuels en France (1944-1954), Editions Complexe, 1991, coll. Questions au XXe siècle, tome II, p. 79.

(47) François Bondy était responsable des publications du Congrès.

(48) Fondateur de Tempo presente.

(49) Arthur Koestler, Œuvres autobiographiques, op. cit., p. 215 (La Corde raide).

(50) Voir Pierre Debray-Ritzen (dir.), Arthur Koestler, op. cit., p. 141.

(51) Arthur Koestler, Œuvres autobiographiques, op. cit., p. 237-238 (La Corde raide).

(52) Voir Pierre Debray-Ritzen (dir.), Arthur Koestler, op. cit., p. 208.

(53) Sensible à la cause des prisonniers, Arthur Koestler créa par ailleurs en 1962 un prix - portant son nom - récompensant les détenus se livrant à une activité créatrice.

(54) Arthur Koestler, La pulsion vers l'autodestruction, Paris, Editions de l'Herne, 1997, coll. Confidences, p. 7.

(55) Voir Pierre Debray-Ritzen (dir.), Arthur Koestler, op. cit., p. 336.

(56) Arthur Koestler, Œuvres autobiographiques, op. cit., p. LXI.

 

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